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Les passions d'Elektra
18 octobre 2013

Arrow - Saison 2 Episode 2 - Critique

 

Arrow-Key-Art-Season-2

 

Le copain de Thea continue de jouer les justiciers et tente d’arrêter le braquage d’un convoi blindé. Malheureusement pour lui c’est loin d’être un succès. En même temps c’est un novice, il a une petite excuse.

J’adore la scène où Oliver dit qu’il devrait dîner avec Dig et sa copine, parce que si cette histoire est importante pour Dig elle est importante pour lui. C’est chou. J’aime bien leur relation à tous les deux, depuis l’apparition de Dig. Puis elle a pas mal évolué, c’est sympa. Par contre Oliver est complètement à côté de la plaque et n’a pas capté du tout que Dig avait rompu avec Carly en fait (et j’adore comment Felicity, avec la délicatesse qui la caractérise, le fait, mais elle est fun à l’engueuler, elle se laisse pas impressionner et elle a bien raison).

Laurel était déjà chiante de base, mais maintenant qu’elle a décidé de devenir procureur et de s’en prendre à notre justicier préféré elle est juste à baffer. A-t-on déjà vu un personnage plus useless et crispant à la fois ? Je me le demande. Dès que je la vois à l’écran j’ai juste envie de lui dire de la fermer (bon ok, comme je suis un peu une folle qui parle aux personnages de série je lui effectivement de fermer sa gueule, je devrais peut être m’orienter vers un psy).

J’ai bien aimé aussi la petite conversation Roy/Oliver (puis c’est Roy qui lui fournit sa prochaine cible au passage, ça m’éclate de savoir que tous ou presque parlent au justicier sans le savoir).

Mon dieu le fou rire quand Felicity pète un plomb et refuse de jouer le rôle de l’assistante potiche d’Oliver car elle adore son boulot d’ingénieur informatique. Et Oliver qui lui dit que ce sera son identité secrète et que c’est plus pratique pour lui de ne pas avoir à descendre à son bureau à chaque fois « I can’t very well travel down 18 floors every time you and i need to discuss how we spend our nights. » « And I love spending the night with you » Felicity, la reine des boulettes. Je l’aime tellement cette nana.

J’aime bien le perso de White China (je ne connais quasiment pas les DC alors je ne la connais pas du tout, je ne sais pas si elle est fidèle au comic mais j’espère qu’on la verra régulièrement, un peu plus que dans la saison1 (puis j’aime bien l’actrice aussi) mais c’est pas gagné vu qu’elle se fait arrêter). Bien sûr Laurel met des bâtons dans les roues d’Oliver… Fallait s’y attendre. Non mais sérieux je sens que cette saison elle va encore plus me gaver que dans la précédente.

La petite scène de « pétage de plomb » de Thea à l’égard de Roy est attendue, mais touchante, j’aime bien leur relation, je préfère Roy dans ce début de saison 2 que dans la saison 1… et la scène à la fin où Roy rerencontre à nouveau « le justicier »

La scène qui alternait le discours d’Alderman (celui qui s’amuse à bousiller la réputation d’Oliver, comme si elle avait besoin de ça, en disant qu’il ne se soucie pas des gens qui souffre dans les Glades) et l’attaque d’un nouveau convoi de médicaments qu’Oliver essaye justement d’arrêter était bien faite. J’ai bien aimé le parallèle entre les deux situations. Oliver aurait dû faire un speech de 3 minutes avant de se lancer à leur poursuite. C’était sûr que l’autre allait lui faire du tort (il a pas compris que c’était l’intention qui comptait lui, de toute évidence).

Par contre je cautionne pas du tout la fin de l’épisode là, je vois pas comment il va s’en sortir (et j’aurais pas dû voir l’épisode aujourd’hui, je vais devoir attendre trop longtemps pour savoir !! je suis en désespoir total devant mon écrant là, et je suis passée de « ta gueule » à Lauren à « va crever dans d’atroces souffrances espèce de salope ! »).

 

Bref, encore un bon épisode pour Arrow, en espérant que la saison continue sur cette bonne lancée. Par contre les flash back sur son île pourrie je m’en passerai bien, ça apporte pas grand chose je trouve, je dirais même que c’est carrément chiant même si le dernier laisse supposer un potentiel twist, alors j’attends de voir où ils vont nous mener. Si ils nous mènent quelque part.

 

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