New Girl 1x01 - Review
My god, je commence le pilot de New Girl et je suis juste morte de rire de la situation très prévisible mais totalement hilarante qui arrive à l’héroïne. Elle rentre chez elle, avec l’intention de faire uns trip tease à son mec, donc elle s’est baladée à poil sous son manteau, a fait une « chorégraphie » des plus spéciales, pour ne pas dire ridicule voir tue l’amour devant son mec, qui était chez lui, en plein aprem, en caleçon. Normal. Ça lui met pas la puce à l’oreille du tout. Et elle n’est pas blonde ! Même pas un peu. Du coup elle le plaque, jusque là normal, et cherche un autre appartement. Elle raconte cette histoire à trois mecs qui l’interviewaient dans le but de faire une colocation avec elle. Le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle laisse une première impression pour le moins marquante.
Premier acteur que je repère ? Le séduisant Max Greenfield, que je préférais quand même dans Veronica Mars et qui se fout à moitié à poil de suite pour prouver qu’il n’y a rien d’efféminé chez lui. Pas bien compris quel rapport entre les deux dans ce contexte, mais le fait que Jess pensait que l’annonce avait été écrite par une fille l’a un peu vexé. Mais son personnage me fait bien marrer. La seule raison qui fait qu’il a tout de suite voulu qu’elle emménage c’est parce qu’elle a dit que ses copines étaient mannequins. On voit de suite avec quel organe il pense lui. Et pour ceux qui ont un doute, ce n’est définitivement pas le cerveau.
Elle les prévient de ces « défauts » on va dire, le plus visible étant que puisqu’elle en situation de post rupture, elle va pleurer devant dirty dancing toute la journée. Perso je connais aps de filles qui font ça, mais c’est toujours le cliché américain, on pleure devant des mélo ou des films romantiqus après une rupture. Et les trois mecs la regardent quand même d’un air totalement horrifié quand elle fait ça pendant une semaine. Leurs têtes c’est juste mythique quoi. On dirait qu’ils n’arrivaient même pas à concevoir qu’une nana puisse devenir une telle loque. Et pourtant ! Finalement Schmidt décide de la trainer à une soirée, et rien que la préparation nous donne une scène savoureuse. Il entre avec un de leur coloc dans la salle de bain pendant qu’elle est sous la douche et lui demande si elle s’est rasé les jambes. J’avoue j’ai dû me repasser la scène pour être sûre d’avoir bien entendu. Et il en rajoute une couche en précisant devant et derrière… j’étais pliée. On a droit à pas mal de flash back, ce qui au début me laisser un peu réticente, mais ils nous expliquent comment chacun en est arrivé là, et sont assez bien menés. Le coach a la sensibilité d’une petite cuillère et voulait de l’aide pour parler aux femmes, mais après trois secondes, sa vraie personnalité reprend le dessus. Quand il guul WHO CARES j’en ai sursauté je m’y attendais pas. Je pensais que sa volonté de changer durerait un chouilla plus longtemps. Après lui et schmidt joue aux mentors pour Jess. C’était assez mignon même si le but premier et qu’elle arrête de laisser des mouchoirs partout. Mais au fil de l’épisode, on voit qu’elle fait ressortir des bons côtés chez chacun d’eux (enfin sauf quand sa meilleur amie mannequin rencontre Schmidt mais bon…) et quand ils se rendent comte que le mec vers lequel ils l’avaient lancé s’est révélé être un salaud qui lui a posé un lapin ils vont tous à sons secours, j’ai trouvé ça super touchant. Chacun a un côté qui peut le rapprocher de Jess ou qui peut être amélioré par sa présence, ils se montrent solidaires avec elle parce qu’ils voient que sa présence peut leur faire du bien. Et Nick va même jusqu’à chanter une des chansons de dirty dancing (enfin, c’est ce que je crois avaoir reconu, parce que le chant et lui ça fait 40) et il entraîne les deux autres à chanter avec lui en plein milieu du restaurant. Epic ! Surtout qu’à la fin ils finissent tous vautrés devant le film.
Un épisode bien sympathique, qui m’a fait avoir de bons fous rires donc, et que je recommande. Fau aimer Zooey Deschanel quand même, parce qu’elle et Jess sont assez… spéciales.